Première hypothèse
Les hypothèses les plus probables et qui pourraient même se succéder.
D’une part :
Le Léonberg serait issu de l’ancien « Chien des Alpes », race qui était étendue dans les Alpes Rhétiques (Partie des Alpes centrales qui correspond approximativement au Canton des Grisons et aux régions italiennes limitrophes, les Grisons), à l’Autriche, et souvent mentionnée par plusieurs auteurs tel que :
- Delbarre-Blaine
- Eugène Gayot : (né en 1808 à Capone (Italie) et mort en mai 1891 à Paris, a été directeur du haras national du Pin et du haras de Pompadour, inspecteur général des haras nationaux, membre du Conseil général des haras et de la Société nationale d’agriculture, conseiller honoraire de la Société des agriculteurs de France et membre honoraire de la Société d’agriculture, commerce, sciences et arts du département de la Marne.
Outre sa collaboration avec M. Moll dans le grand Dictionnaire d’agriculture pratique, on a de lui des traités sur l’histoire naturelle, l’économie rurale et l’éducation de tous.) les animaux domestiques. (Source : wikipedia).
- Pertus
De nombreux éléments confirment la localisation autrichienne d’un chien des Alpes, ancêtres du Léonberg.
Le professeur Von Schulmuth, de Vienne, à pu retrouver dans les archives des Princes de Metternich, la mention de Chenils pour des chiens de montagne, dans le Wolfsberg, en 1625, sous le nom de Léonberg, parfaitement conforme au standard actuel en 1971.
Quand au Docteur Maurice Luquet (1899-1986. Médecin vétérinaire à Rouen en 1978), il signale dans une importante étude consacrée à la race que Marie-Antoinette (1755-1793), d’origine Autrichienne, en aurait possédé un spécimen, de fort grande taille.
Cette race aurait été peu à peu délaissée dans ces régions du fait de la disparition des grands prédateurs (ours, loups, lynx, …).