des petites créatures divines

des petites créatures divines Leonberger

Leonberger

Deuxième hypothèse

Deuxième hypothèse

D’autre part :



L’histoire de Heinrich Essig (1808-1889), il était conseillé municipal à Léonberg, Bourgade dans laquelle il s’était installé, à une quinzaine de Kilomètres de Stuggart, dans ce qui était le Royaume de Wurtemberg.

Alors qu’à la base il aurait voulu obtenir un grand chien blanc, il aurait obtenu un Léonberg en croisant plusieurs chiens tel que :


  • Un Landseer (Chien, blanc et noir)

  • Un Saint-Bernard (Chien,  tricolore)


Croisement qu’il aurait enrichit par la suite,  avec le mariage d’un chien de Montagne des Pyrénées.

Or, croiser des chiens de couleur :


  • Noirs et Blancs

  • Fauves et Blancs

  • Blancs et Blaireaux


Pour arriver à un chien entièrement coloré et fauve charbonné parait difficile, voire même, selon les lois de la génétique, complètement impossible.

Bien qu’Henrich ne soit pas le véritable créateur de la race « Léonberg », il n’en restait pas moins un grand producteur, puisqu’à la tête d’un grand élevage, qui produisait jusqu’à 300 chiots, de grandes tailles et d’origines diverses, dont un grand nombre, ne faisait l’objet d’aucune véritable sélection, et ce durant près de 40 ans.

Et c’est donc avec le plus grand « Chutzpah »=Audace, qu’il fit connaître le « Léonberg », dans le monde entier, offrant notamment un spécimen à toutes les célébrités du moment, tel que :


  •  Elisabeth d’Autriche


Elle en aurait possédé à elle seule près de 7 chiens.


  • L’Empereur Napoléon III

  • Princes de Galles

  • Garibaldi

  • Le roi de Belgique Bismark

  • Le roi Umberto d’Italie

  • Le Tsar de Russie


Dès lors, à l’étranger, Henrich se présentait comme le « Baron de Léonberg ».

Mais on constatera qu’il n’en restera quasiment aucune trace après sa mort en 1889, ne trouvant personne pour faire perdurer ses lignées.

C’est en l’hommage aux qualités du chien, qu’en dépit de la critique sévère sur l’établissement du chien, il y avait suffisamment de propriétaires enthousiasmes pour former, à partir de 1891, le premier club de Léonberg.

Malheureusement, ce premier club n’a pas survécu longtemps.

De la période Henrich Essig, deux grandes dates sont à retenir :


  • 1846 : Premier Spécimen Léonberg présenté. 


Le but de : Essig étant de présenter un chien à l’aspect « Léonin », Le Lion, étant l’emblème héraldique de la ville de Léonberg.


  • 1863 : Classe crée à l’attention de la race.


Dont plusieurs sujets obtiendront des prix à l’exposition canine de Hambourg (1863).